La notion de durabliité et de respect est la clé de notre travail. L’énergétique dans ce contexte s’applique aux relations entre l’environnement et le domaine bâti dans le respect des lois universelles, de la globalité et de l’interdépendance des flux. Notamment, les flux atmosphériques, les flux de formes (bâtiments), les flux géologiques, les flux tectoniques, et les flux biologiques humains.
Il s’agit de s’adapter aux influences locales environnementales dans et hors de l’habitat, dans un contexte unique (habitation unifamiliale) et/ou plus global (quartier, ville, village,…), tout en respectant les lois de durabilité pour les choix d’implantation, les formes de bâtiments, les matériaux, les «cartographies énergétiques» (canalisations et câbles externes et internes – eau, gaz, électricité, télécommunications).
A cela s’ajoute la notion de sacralisation du lieu, du sol et de la terre.
Les mesures sensibles du domaine de la GéoBioPhysique peuvent influer sur les décisions à prendre.
Des expertises de terrains «nus» (à construire), de terrains agricoles, de terrains construits, de propriétés où sont prévues des transformations sont effectuées par nos soins.
Des expertises énergétiques et constats de pollutions environnementales (électrosmog, matériaux de constructions et d'aménagements intérieures) sont effectuées à la demande, pour réharmoniser les lieux et traiter les problèmes de santé qui leus sont liés.
Il faut savoir que de nombreux problèmes de santé sont liés aux bâtiments (privés et publics) dans lesquels on passe plus de la moitié de son existence.
La validité de nos expertises a été reconnue par de nombreuses municipalités, sur des bâtiments et sur des zones de quartiers.
Si vous souaitez en savoir davantage, prenez Contact.
• A l'attention des pratiquants en géobiologie classique:
Depuis quelques années, la notion même de géobiologie s'est modifiée, de par sa récupération pour un autre domaine d'applications. Cette «géobiologie à l'américaine» est mise à disposition d'étudiants dans certaines universités travaillant essentiellement sur la biologie animale – bactéries, virus et nano influences dans la Terre. Dans ce domaine, l'humain n'a pas sa place.
Cela n'a plus rien à voir avec la biologie humaine liée aux mouvements et matériaux terrestre, centrés autour du magnétisme.
La «géobiologie à l'américaine» est inconnue en Europe.
Pour nous démarquer de cette forme de récupération et pour nous adapter aux nouvelles réalités énergétiques qui se mettent en place, grâce à l'élévation vibratoire de la Planète Terre, nous proposons cours, ateliers et conférences dans ce domaine que nous nommerons GEOBIOPHYSIQUE.
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• VÂASTU + FENG-SHUI
Ces deux appellations représentent le même domaine.
Le Vâastu est l’appellation sanskrite de la gestion énergétique du paysage en interaction avec le domaine bâti et en relation avec le mouvement des flux et le taux de vitalité des lieux.
Le Feng-shui est l’appellation chinoise du domaine pré-cité.
Nous offrons la possibilité d’utiliser ces notions en leur véritable signifiance, lorsque les considérations globales d’aménagement du territoire et d’urbanisme sont requises, ainsi que pour l’implantation de nouveaux bâtiments.
(Il ne s’agit pas de la version commerciale réductrice de cette science antique).
Géographie sacrée
Elle permet de lire les données géographiques et cosmiques de l’histoire des civilisations. C’est le domaine des non-hasards de l’Esprit implanté sur terre et de la sacralisation des lieux.
Sylvie Touranne enseigne la Géographie sacrée dans les académies d'architecture, donne des conférences en astro-archéologie pour mieux comprendre comment les Anciens choisissaient les lieux et effectuaient leurs plans pour l'édification des temples et autres édifices sacrés.
Elle dirige des visites guidées de lieux particuliers et organise des rituels de réharmonisation énergétique sur les lieux dévastés par la destruction au cours des siècles.
Elle organise des rituels connectés spirituellement planétaires et cosmiques, en fonction des événements dans le monde.
Utilisons la géographie sacrée pour créer l’harmonie des lieux futurs, au lieu de bétonner sans discernement… La géographie sacrée est un outil de planification pour les villes !
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• BIO-URBANISME
«Les [orientations et la ligne générale du développement urbain] doivent échapper à l’impact des opinions personnelles et des intérêts particuliers,
et constituer (…) la loi sacrée de la ville.»
Gustavo Giovannoni in L’urbanisme face aux villes anciennes
• Le bio-urbanisme prend en compte l’ensemble des paramètres du Vivant au sein d’une ville, pour qu’elle devienne durable, vivable, agréable, aimable. Et puisse accueillir tous les citoyens avec leurs particularités, les quartiers d’habitat résidentiel et les échanges économiques et commerciaux, dans une intelligence inclusive fraternelle et conviviale.
Ce n’est pas le cas actuellement, car les séparativismes, les freins politiques partisans, les clôtures protectionnistes, le gaspillage bétonné du territoire dû à l’expansion économique mal gérée par des «copinages» mafieux et autres tendances régies par des investissements financiers ne respectant pas le bien commun, pour tous ces éléments et d’autres encore, trop de disparités provoquent les immenses pollutions urbaines où règnent violences, pauvreté, saleté, bruit, air vicié pour parler des éléments visibles. Mais l’atmosphère psychique invisible en fait partie.
La seule manière de nettoyer en permanence une ville qui tente de fonctionner durablement est de placer la Nature de manière judicieuse au sein de l’urbain.
• En bio-urbanisme, le concept de ville-santé, de «Gaïa-citoyenneté» proposé au Sommet de l’ONU sur l’Habitat (Istanbul 1996) fait partie de notre démarche.
L’être humain fait partie d’un système ouvert dans l’environnement: celui de Gaia (conscience de la planète Terre) qui elle-même fait partie d’un système ouvert plus grand. Ces systèmes ouverts sont un ensemble d’énergies vitales interdépendantes (bioénergie) ou ensemble de réseaux informationnels interactifs qui dépendent les uns des autres, impliquant la responsabilité citoyenne de leur gestion dans le système ouvert de l’environnement global.
Nous œuvrons dans le domaine du bio-urbanisme par:
• expertises bio-énergétiques de terrains avant construction
• expertises de quartiers avant transformations et éco-quartiers à coopération interdépendante créative
• études d’implantations d’«espaces verts/bleus» au sein de la ville, au moyen de la permaculture si possible.
• utilisation judicieuse des matériaux régulateurs climatiques, (exemple: l’usage de verre et métal pour les grand bâtiments urbains augmente la température de 2 à 5° localement ! La nécessité d’aération par ventilation artificielle accompagne ces choix, très loins d’une durabilité globale effective.)
Planification et aménagement du territoire selon l’énergétique
L’énergétique dans ce contexte s’applique à la gestion des flux et leur interdépendance selon les lois universelles de la Nature en relation avec l’historique des lieu d’implantation des villes.
Sont considérés:
• les flux atmosphériques,
• les flux créés par les formes,
• les flux géologiques, les flux tectoniques,
• les flux créés par l’organisation des quartiers de ville, les routes et rues,
• les flux de traffic
• les flux humains.
De plus, la notion de vie au sein de la ville est essentielle pour lui apppliquer celle de durabilité.
Pour ce faire, il convient d’allier les volumes naturels (espaces libres–verts et bleus) aux volumes artificiels (espaces bâtis), en admettant la nécessité de leur équilibre dans le milieu urbain.