Certains résultats de travaux sont publiés dans:
1) l'article THE FORGOTTEN PLANET THAT INFLUENCES THE RELEASE OF EARTHQUAKES
2) l'ouvrage SEISMIC FORECAST, dont une partie est présentée ensuite
L’usage des données concernant la PREVISION SISMIQUE et publiées sur ce site est à la disposition de tous, pour autant que soient mentionnés: 1) le nom de l’auteur «Sylvie K. Touranne» et 2) le centre de Recherches et Applications «Yamanda RA», où ces travaux pionniers se développent.
L'article ci-dessous THE FORGOTTEN PLANET THAT INFLUENCES THE RELEASE OF EARTHQUAKES a été proposé au Magazine Nature pour publication. Il a été refusé après que la rédaction ait attendu la période de déclenchement d'un tremblement de terre important, mentionnée dans le texte. L'événement sismique a eu lieu 24 heures après le refus ! A l'évidence, les calculs effectués et décrits ont démontré la véracité de la prévision. lire l'article
* * * * *
Voici un extrait de l’ouvrage Seismic Forecast (Prévision sismique) de Sylvie K. Touranne, traduit de l’anglais.
Cet ouvrage est à paraître. Nous recherchons un éditeur anglophone et un éditeur francophone.
L’importance de Vulcain dans le déclenchement des séismes
Tout d’abord, il faut mentionner que Vulcain seul n’a pas grande importance quant à rassembler les énergies nécessaires de tension pour déclencher un événement sismique. Rares sont les jours de l’année où Vulcain n’est aspecté par aucune planète. Mais il faut le dire, dès que ce dernier est en relation angulaire avec une ou plusieurs planètes et/ou avec les luminaires (Soleil et Lune), les choses changent du tout au tout.
Nombreuses sont les différentes possibilités pour Vulcain de contacter un autre corps céleste en certains moments et périodes pour ensuite diriger la vibration couplée vers la terre.
Selon leurs position au sein du système solaire et de leur structure matérielle, il faut considérer les planètes en deux groupes distincts :
a) les planètes internes et telluriques
Mercure – Vénus – Lune – Mars – Jupiter
b) les planètes externes et gaseuses :
Saturne – Uranus – Neptune – Pluton
Vulcain doit être considéré à part, tout comme le Soleil.
La différence d’énergie dégagée par des planètes internes ou externes est assez claire : la proximité de la Terre des corps telluriques et leurs orbites, leur structure dense et minérale, leur empêche des vibrations acoustiques très élevées et freine leur capacité de résonance. Alors que les planètes externes possèdent bien plus de possibilités à vibrer au sein de la structure éthérique du vide de l’univers. La taille d’une planète ne signifie strictement rien.
En fait, on observe que l’action de Vulcain est bien plus puissante quand il synthétise les énergies des planètes externes, aspectées de certaines manières.
Si l’on considère un nombre donnée de tremblements de terre de magnitude entre 7.0 et 8.0 sur l’échelle de Richter, la plupart sont déclenchés par Vulcain, en tant que point de départ. Cela représente 83,3% des événements d’une année, pour une moyenne de 18 séismes de cette intensité.
Vulcain couplé directement à Pluton donne un résultat de 66,6% des événements considérés.
Vulcain couplé directement à Uranus ne donne «que» 5,5%.
Si l’on considère les magnitudes entre 6.0 et 6.9, Vulcain est actif comme point de départ dans 83,2%, soit un résultat identique comparé aux intensités supérieures.
Une année de statistiques
C’est l’année solaire 2005 – 2006 qui a été pris en compte pour l’activité sismique, partant du 21 juin, solstice d’été. Ont été notés 197 séismes de magnitude entre 6.0 et 8.5, sur 149 jours distribués sur l’année.
Le choix porté sur le début d’année au 21 juin pour commencer la statistique était clair . D’autant que le tsunami du 26 décembre 2004 à Sumatra était si fort (9.0 sur l’échelle de Richter), que les répliques furent actives pendant au moins trois mois après, ce qui aurait faussé les calculs.
Si l’on prend comme repère l’année civile 2006, on note que très peu de changement dans le nombre de séismes de magnitude entre 6.0 et 8.5 : soit 190. Il en va de même pour le nombre des jours d’événements enregistrés sur l’année : 150.
Le déclenchement des actions sismiques ayant Vulcain comme point de départ a été calculé sur la base de jours/an, avec une magnitude de 6.0 et plus. Le résultat est aussi important que 74,3%, soit une somme de 111 jours sur 149.
Si l’on compare ce résultat avec les autres planètes comme point de départ de l’action en une seule relation – et en excluant Vulcain –, nous obtenons pour :
Pluton : 10%
Neptune : 6,7%
Uranus : 5,4%
Et en vrac ensemble Saturne, Jupiter, Mars, Soleil, Lune : 3,6% des cas.
Il faut préciser qeu ces résultats ne concernent que les relations principales (voir plus bas) et non les cas où il existe plusieurs relations journalières.
Si l’on considère l’action totale annuelle de Vulcain comme point de départ principal d’un déclenchement sismique (74,3%), dans les réultats suivants on obtient l’aspect direct à une planète externe en une seule relation. Exemple : Vulcain – Uranus – Lune – Mars – Venus – Soleil :
1) Vulcain – Uranus : 29 x/an = 26,1%, et 19,5% de tous les événements sismiques en un an
2) Vulcain – Pluton : 17x/an = 15,3%, et 11,4% de tous les événements sismiques en un an
3) Vulcain – Neptune : 15 x/an = 13,5%, et 10% de tous les événements sismiques en un an
4) Vulcain – Jupiter : 8x/ an = 7,2%, and 5,4% de tous les événements sismiques en un an
5) Vulcain – Saturne : 6x/ an = 5,4%, and 4% de tous les événements sismiques en un an
Les aspects directs impliquant un point de départ par une conjonction de Vulcain – Soleil – Mercure avec une autre planète (externe ou non) donne un résultat de :
36x/ an = 32,4%, and 24% de tous les événements sismiques en un an.
Restent 6 événements (5,4% / 4%), déclenchés par des aspects de Vulcain et : Mars et Lune.
Comme on l’a vu plus haut, la conjonction de Vulcain avec le Soleil et Mercure arrive six fois par an, de par le fait de la rétrogradation de Mercure. Alors Vulcain est doublement en position conjointe avec les deux corps astraux qui l’entourent. Ces périodes sont toujours très actives sismiquement. Et l’on peut noter comme une règle, des magnitudes de 6.0 et plsu pendant ces jours. Il n’y a pas de régularité quant à un angle précis de conjonction. Mais quand Vulcain est proche de l’orbe de 4°30’ pour le Soleil et Mercure, on peut être sûr d’observer une réactivité énergétique forte qui entame la période. Et surtout, lorsque la semaine précédente, l’activité géosismique était plutôt calme (entre 4.0 et 5.5).
Il a également été noté que Vulcain est plus actif quand sa position se trouve devant le Soleil, et moins actif après qu’il transite l’étoile, Mias la différence est minime.
Maintenant, considérons les aspects indirects d’une relation, dont le point de départ ets toujours Vulcain. Ce qui signifie que la planète externe est placée à l’intérieur de la relation, dans toute autre position que la seconde (directe). Exemple : Vulcain – Mars – Lune – Neptune – Soleil.
1) Vulcain – Neptune : 36x/an = 32,4% et 24,1% de tous les événements sismiques en un an
2) Vulcain – Pluto : 28 x/an = 25,2%, et 18,8% de tous les événements sismiques en un an
3) Vulcain – Uranus : 23x/an = 20,7%, et 15,4% de tous les événements sismiques en un an
Le nombre de relations quotidiennes est très important, car chaque planète transmet son énergie à la suivante, en mode continu ou discontinu. Ce qui signifie différentes sommes d’énergie, quand on considère toutes les positions des corps planétaires. (Les deux luminaires Soleil et Lune sont inclus dans les termes de corps planétaires s’il n’y a pas d’autre mention spécifique).
On note une, deux ou trois relations par jour. Pas plus.
Chaque relation est composée au minimum d’un aspect entre un ou plusieurs corps (cas des conjonctions ou clusters).
Dans une configuraiton journalière, plus la relation est continue, plus elle génère de puissance. Plus il y a de relations fragmentées, moins elles génèrent de puissance.
En une année, les événements sismiques sont distribuée ainsi :
1 relation : 74 = 49,6%
2 relations : 65 = 43,6%
3 relations : 10 = 6,7%
En une année, Vulcain est la cause du déclenchement sismique dans 71,6% lorsqu’il y a une seule relation, et dans 20% des cas lorsqu’il y en a deux.
Quand il y a une relation en un jour, les trois planètes externes Pluton, Uranus et Neptune sont impliquées dans la plupart des cas. Les autres planètes semblent jouer un rôle secondaire. Mais il n’est jamais possible de les éviter dans une analyse, car elles canalisent l’énergie pour atteindre l’espace-temps du point focal d’un tremblement de terre.